Je défends l’idée que chaque peuple doit choisir son propre chemin. Déterminer quelle voie il veut emprunter pour aller vers le progrès et construire son propre destin. Les systèmes politiques et les courants économiques sont des outils.
Archives de l’auteur : Joël Bofengo
Le bon moment, c’est maintenant. Heureuse année 2023 !
A vous et à vos proches, je souhaite une heureuse année 2023. Soyez en bonne santé et profitez de la vie.
Kinshasa, pour le meilleur et pour le pire
Dans 30 ans, la population de la capitale congolaise sera d’environ 35 millions d’habitants, aggravant les problèmes qu’elle connaît déjà : gestion des déchets, logement, sécurité, infrastructures. Kinshasa sera-t-il un monstre urbain ?
Faire le bon diagnostic
Au Congo, dès qu’il s’agit de penser à l’intérêt collectif, les cerveaux sont comme débranchés. C’est ce rapport défaillant avec les biens, l’argent et les bâtiments, bref, tout ce qui est public qui me semble être le bon diagnostic du mal qui ronge le pays.
Micro, carnet et stylo. Pour témoigner, pour expliquer
La presse n’est une garantie pour la démocratie que dans la mesure où elle éclaire le débat public et permet aux citoyens de faire des choix éclairés grâce à une information impartiale et intelligente.
«Laudato Si’», l’encyclique du pape François, plus que jamais d’actualité
Dans son encyclique, le pape François présente la crise climatique non pas seulement comme une question de réchauffement climatique, de la montée des eaux ou de la perte de la biodiversité qu’il faudrait résoudre rapidement grâce aux solutions proposées par des experts. Mais plutôt comme le révélateur d’une crise plus profonde.
Sortir de la naïveté
Face aux soubresauts d’un monde chaotique, c’est le réalisme qui nous sauvera. Pas la «communauté internationale». Il est temps de sortir de la naïveté.
Contribuer à la connaissance commune
Le Congo a grand besoin que la connaissance avance et que l’ignorance recule. Et sur ce point, nous sommes tous acteurs. Notre société doit être tous les jours plus intelligente et moins abreuvée à la rumeur et aux racontars de bistrots.
Sortir du dictat de l’immédiateté
Le dictat de l’immédiateté, c’est le présent éternel. La réponse toute faite et simpliste qui permet d’apaiser l’opinion publique, le temps de passer à une autre polémique, un autre drame, une autre indignation.
La corruption des gens ordinaires : le déclin de la République
En réussissant à convaincre les masses populaires que le pouvoir était un gros gâteau dont il faut se rapprocher le plus possible pour s’arracher le plus gros morceau, les élites ont ruiné la République.