«Taxi !». Une bagnole, des rêves et des histoires…

Vous souvenez-vous encore de Marc, Richard, Ted et Éric ? Les quatre copains de la Remontada ? Je vous ai raconté leurs (més)aventures à Kinshasa pendant plusieurs mois, il y a deux ans maintenant. Vous avez été un certain nombre à réclamer à lire la fin de l’histoire. Je l’ai terminée. Et remis à mon éditeur. Cette fin, vous la lirez donc dans un livre. Je vous en reparlerai ici même.

Je suis du genre à considérer la vie comme une succession de projets. Il m’en fallait donc un nouveau. Je l’ai trouvé. C’est encore une fiction. Encore une fois, elle se déroule au Congo. Et donc pas seulement à Kinshasa. Sur le blog, vous la lirez sous le titre «Taxi !».

Le héros de la fiction est en fait une héroïne. Elle se fait appeler «Yémi». Elle est conductrice de taxi à Kinshasa. Une fois par semaine, vous lirez un bout de son histoire tel qu’elle va vous raconter elle-même.

Je l’ai déjà écrit mais je me répète. «Taxi !» est une fiction. Une œuvre de mon imagination. N’y voyait pas autre chose qu’une fiction. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations réelles ne sera que pure coïncidence. C’est vrai aussi que j’ai déjà écrit sur ce même blog que les réalisateurs, scénaristes et tous ces gens qui nous divertissent grâce à la fiction utilisent cette phrase pour soulager leur conscience de trop emprunter à la réalité et de se servir de nos vies comme des fragments de leurs fictions. Mais voilà, c’est comme ça. Essayez de vous convaincre que dans une fiction, tout doit relever de la fiction. Donc, de l’imagination de l’auteur.

J’espère que cette nouvelle histoire vous intéressera. Qu’elle vous arrachera souvent un petit sourire ou un rire franc. Qu’elle vous énervera quelque fois. Mais en tout cas, qu’elle ne vous laissera jamais indifférent.

En tout cas, Yémi ne laisse personne indifférent. Vous l’aimerez ou vous la détesterez. Mais jamais elle ne sera sans intérêt. Croyez-moi.

Il ne me reste plus qu’à vous inviter à prendre place dans le taxi de Yémi. Asseyez-vous confortablement.

A bientôt ! Et que vive la fiction !